20 % des internautes ne partageraient du contenu qu’à travers le « dark social » d’après une étude We Are Social
🔗How brands can capitalise on the rise of Dark Social
Un constat ancien et qui nous renvoie à l’ère d’avant les réseaux sociaux. La campagne de 2005 pour le non au TCE s’était par exemple essentiellement menée par des chaînes de mails, en opposition au oui médiatique (TV, blogs « officiels »…) et était passée inaperçue un long moment avant une plus large exposition.
Avec la polarisation idéologique et la généralisation de l’invective dans les discussions, cette tendance au « dark social » se retrouve aussi certainement pour les sujets politiques et sociétaux très clivants (PMA, féminisme, écologie, immigration, violences policières…).
Après une période de discussion et de grande mise en commun de tous les sujets, il ne serait pas étonnant que l’on revienne à un cloisonnement (déjà à l’œuvre) entre communautés, comme autant de « safe spaces » isolés les uns des autres.